Forza Motorsport 5 en preview, nos premières impressions

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Fer de lance de la Xbox One, le Forza Motorsport 5 de Turn10 se montrait sur Paris la semaine dernière. Curieux que nous étions, nous avons sauté sur l’occasion pour prendre en main l’un des seuls jeux que nous n’avions pas pu voir ou tester cet été lors de la Gamescom 2013. Après une première prise en main et quelques tours de piste sur le désertique Laguna Seca, voici nos toutes premières impressions, à chaud évidemment.

Le titre de Turn10 sera bien plus qu’un simple jeu de lancement. En effet, il exploite deux des caractéristiques clés de la nouvelle machine de Microsoft. Tout d’abord, grâce à Drivatar, il proposera une IA améliorée à chaque partie, le jeu enregistrant vos performances au volant dans le cloud pour adapter les pilotes virtuels à votre style et vous proposer de nouveaux challenges au fur et à mesure de votre progression. Malheureusement, impossible de se rendre compte des bienfaits du nuage dans notre courte session de jeu, nous y reviendrons donc en temps voulu lors du test.

Par contre, toujours au niveau de la conduite, le jeu exploite l’une des 100 innovations de la manette Xbox One : les gâchettes à impulsion. Autant lâcher le morceau de suite, c’est un véritable bonheur dans une simulation comme Forza. En plus des deux moteurs de vibration de chaque côté de la manette, les triggers se payent le luxe de petits dispositifs à retour de force qui prennent parfaitement sens dans Forza 5. Chaque accélération brutale sera ressentie différemment selon le bolide. Le freinage est encore plus impressionnant et on prend un plaisir non dissimulé à « pomper » sur le frein dans une Mercedes-Benz 300 SL d’époque.

Finalement, on ne fait plus attention au marquage au sol nous informant de notre vitesse, tant les sensations semblent réalistes manette en main. Les nouveaux venus dans l’univers de la simulation automobile comme les joueurs confirmés qui ont retourné les précédents Forza y trouveront leur compte et feront à coup sûr moins d’allers simples dans le sable en sortie d’un virage. Pour revenir à la simulation en elle-même, nous n’avons pu tester que quelques voitures : Mercedes-Benz 300 SL, McLarent P1 2013, Ferrari F12berlinetta 2012, Pagani Huayra 2012 et l’icône du jeu, la Lamborghini Aventador LP700-4 de l’année dernière.

Chacune avait son propre modèle de conduite et ses réactions toutes particulières sur la brulante asphalte du circuit californien. Encore une fois, nous attendrons pour juger avec précision de la physique des véhicules. Il nous reste à parler de la technique. Jeu next-gen oblige, Forza 5 tourne à 60fps en 1080p mais si les voitures sont extrêmement bien modélisées, le circuit et les assets semblent encore manquer de peps. Dans cette version démo peu avancée, on notait un aliasing gênant et des effets de depth of field un peu baveux et pas super propres. En tout cas, on a hâte de découvrir la version finale du jeu qui promet beaucoup et qu’on attend surtout pour l’immersion qu’il pourra nous proposer grâce aux manettes à impulsion. Vite, le 22 novembre semble encore bien loin.

BiLLOU95, Rédacteur en chef

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